jeudi 13 septembre 2012

Apple dévoile le iPhone 5

Hier Mercredi tous les geek et sympathisants de la technologie avaient une oreille attentive sur la présentation du nouveau iPhone de Apple. Sans surprise le iPhone 5 est d'une beauté que seul Apple a le savoir. découvrez-le en image. 
 Le terminal sous iOS 6 est équipé d’un écran tactile de 4″ avec une définition de 1136x640px (326ppi)
Le iPhone5 intègre un processeur A6, un APN de 8MPx (3264×2448, f/2.4) avec un mode panoramique qui fait des photos de 28 mégapixels, l’enregistrement de vidéos en 1080p
Une camera visio HD 720p rétro-éclairée, d’une épaisseur de 7,6mm et d’un poids de 112g soit le iPhone le plus léger
À noter le nouveau connecteur 8 broches réversible (80% plus petit) qui va faire plaisir aux utilisateurs déjà équipés et aux fabricants d’accessoires…
Apple livrera un adaptateur avec l’iPhone 5. Il y a aussi de nouveaux écouteurs EarPods avec un son « haute fidélité ».
Il sera disponible en noir ou blanc le 21 septembre en france.

Et pour les prix, comptez aux US, 200$ pour la version 16Go, 300$ pour la 32Go et 400$ pour la 64Go avec deux ans d’abonnement.

Vous voulez en savoir plus sur ce bijoux c'est ici...

lundi 10 septembre 2012

Emploi et Formation Le site uponjob propose un recrutement différent; pas de CV, mais des challenges

Fini les traditionnelles candidatures composées d'un CV et d'une lettre de motivation regardant vers le passé. Uponjob propose un concept nouveau en matière de recrutement: permettre aux candidats de mettre en valeur leur savoir-faire et savoir-être à l'instant T et de se projeter vers l'avenir.

Lancée par deux ingénieurs passionnés du web, Romain Goby et Clément Rousseau, la plate-forme uponjob.com est opérationnelle depuis Juin dernier et le pari est gagné, puisque les recruteurs ne publient plus de simples annonces décrivant des postes à pouvoir mais proposent aux candidats des challenges à relever. "Il s'agit de mettre le candidat en situation sous forme de cinq questions concrètes et ouvertes, le but étant de répondre à une problématique en prise directe avec le job concerné et l'entreprise", explique Romain Goby.


La personnalité prime
Aucune réponse type n'est attendue du candidat, l'objectif étant de mettre en lumière sa personnalité, ses connaissances, ses savoir-faire et ses capacités d'analyse. Ainsi, au lieu de présenter une radiographie de son parcours passé, "le candidat est dans une démarche de projection vers l'avenir en s'imaginant dans le poste convoité", précise-t-il. Les entreprises déposent leurs challenges sur la plate-forme et les candidats s'y inscrivent pour les réserver.




Un ton jeune et décalé
Mais ce n'est pas tout, car Uponjob ne se cantonne pas à un seul service web, puisqu'il intègre également des fonctionnalités de partage vers les réseaux sociaux afin de maximiser ses chances. Enfin, le blog de la société permet de trouver informations et conseils en recrutement sur un ton agréable, jeune et décalé. Surprenant dans un secteur habituellement très policé.

S'INSCRIRE EN QUELQUES CLICS ICI...

1. Créer un compte et un mot de passe. les seuls informations à fournir sont le nom, le prénom et une adresse e-mail.
2. Les adeptes de facebook peuvent ajouter Uponjob en cliquant "J'aime". Ils seront ensuite informés directement des nouveaux challenges mis en ligne et des différents articles postés sur le blog.
3. Valider l'inscription suite au mail de confirmation.
4. Relever les challenges en répondant aux cinq questions pour le poste convoité.

NB: Un non diplômé ayant les compétences requises dans un domaine précis peut postuler aussi.


source: Directmatin


lundi 3 septembre 2012

Controler si un pseudo est inutilisé dans un réseau social est possible grace à namecheckr

Voulez créer une nouvelle marque sur Internet ? Vous devez vérifier la disponibilité de nom de domaine et le profil social. Il y a la disponibilité de nom de domaine diverse vérifiant des services disponibles sur Internet. Aussi vous pouvez trouver la disponibilité de profil sociale diverse vérifiant des services. Namecheckr est un super outil par lequel vous pouvez vérifier tant de noms de domaine que la disponibilité de profil sociale à un même temps.

Tout ce que vous devez faire est le type un mot-clé dans une boîte donnée et le clic sur un bouton de Submit et il vous montrera immédiatement les résultats sur l'écran.

 Il lance la recherche pour ".com.net.org" et la disponibilité de nom de domaine .me. Aussi il vérifie la possibilité du nom sur des sites sociaux divers comme Twitter, Tumblr, WordPress, Facebook, Flickr etc. Le temps de réponse de site est superbe et il donne le résultat dans une fraction de seconde. Le service est gratuit et vous ne devez pas vous faire inscrire pour l'utiliser.



Vérifiez(Regardez rapidement) Namecheckr pour vérifier la disponibilité de nom de domaine et le profil social.

jeudi 30 août 2012

Facebook, messenger,…dans les bureaux / Patrons-employés : la guerre du tchat!

L’utilisation des réseaux sociaux en entreprise est la nouvelle pomme de discorde entre les patrons et les employés. Notre enquête !

«On ne peut pas vous empêcher de vous rendre sur Facebook. Mais de grâce, fermez la fenêtre de discussion quand vous avez du travail. Le manque de concentration est source de déperdition, sans que vous ne vous en rendiez compte. Si les chiffres d’affaires ne sont pas bons, nous serons obligés de vous congédier». La voix grave et le regard sévère, Alain K. responsable d’une entreprise de la place met en garde ses collaborateurs. L’employeur a adressé ces reproches au cours d’une réunion de service. Il n’est pas isolé dans sa colère. De plus en plus, des chefs de service se plaignent de la pratique. Les travailleurs abandonnent le travail pour tchatcher sur le net à travers les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Hi5, ou des sites de rencontres tels que drague.net, 123love.net et autres. Pourquoi les salariés sont-ils régulièrement connectés sur ces réseaux ? La conscience professionnelle s’est-elle volatilisée ? Pour en avoir le cœur net, nous avons effectué des visites dans environ une demi-douzaine de bureaux tant dans le privé que dans le public, dans la seule journée de jeudi dernier. Dans le secteur public, les fonctionnaires avec qui nous avons échangé ne manquent pas d’arguments. Ils évoquent une raison professionnelle. Pour ce qui est du privé, certains agents avancent même qu’ils utilisent les réseaux sociaux pour un échange d’expériences avec des travailleurs de leur secteur d’activité vivant dans les autres pays. Ce qui, à les entendre, contribuerait à accroître le chiffre d’affaires de l’entreprise. Quelques uns, par contre, ignorent tout de ces moyens de communication. Pendant que d’autres prétendent n’y aller que pendant les temps morts, histoire de déstresser…«Ce temps perdu sur internet est un véritable problème pour nous. Et nos employés sont difficilement contrôlables. Dès que vous entrez dans le bureau, ils ferment aussitôt les fenêtres de discussion. Nous examinons le problème en collaboration avec le gestionnaire et le directeur des affaires financières pour voir s’il faut arrêter des mesures», se dit résolu un directeur d’une entreprise de poterie à Marcory. Un coordonnateur de service au ministère de l’Emploi, qui a requis l’anonymat, dit vivre une autre expérience du boom des réseaux sociaux. Pour lui, il n’est pas question de sanctions. Néanmoins, le coordonnateur de service reconnaît que ces outils peuvent nuire. Surtout qu’ils ne font pas partie du cahier de charges. «Nous ne tenons pas rigueur à ceux des nôtres qui utilisent les réseaux sociaux au travail. On y retrouve toutes les informations en peu de temps.» La question est sérieuse. Mais aussi cocasse. C’est que des employés se plaignent eux aussi des patrons qui les privent de causeries sur internet. Pamela O., conseillère dans une ambassade africaine, est une inconditionnelle de Facebook. Dans le jargon, on dira que la demoiselle a un indice «klout» élevé. Cet indice est censé indiquer l’influence d’un utilisateur sur le réseau social. Il se mesure par le nombre d’amis, d’abonnés ou encore de commentaires sous les publications de cet utilisateur. Et tenez-vous bien, la conseillère comptabilise à elle seule plus de 100 mentions par jour. Elle publie en général des photos ou des vidéos. Depuis un mois, elle ne décolère pas contre la nouvelle décision de ses chefs. Eh oui ! L’accès aux réseaux sociaux est purement et simplement désactivé des ordinateurs sur son lieu de travail. Pour naviguer sur internet, il ne lui reste plus que les sites de recherches. Selon Yves T., informaticien, c’est l’option dont dispose techniquement les patrons pour faire plier les récalcitrants. Et la pilule passe difficilement auprès des travailleurs. Traoré Dohia Mamadou, secrétaire général de la Fédération des syndicats libres et autonomes de Côte d’Ivoire (Fesaci) estime que le monde étant un village planétaire, les patrons ne devraient pas censurer la fréquentation des réseaux sociaux. Il préconise qu’avant de blâmer le travailleur, il faut apporter la preuve de ce que son activisme sur le réseau social est à la base des mauvais chiffres. Kouamé Kouassi, directeur des ressources humaines dans une entreprise de la place, quant à lui, observe les choses sous un autre angle. Il conseille aux employés d’éviter les réseaux sociaux aux heures de travail. «Il est proscrit qu’un travailleur passe plus de temps sur internet. Son employé peut lui tenir rigueur pour ce fait. Les entreprises mettent l’internet à la disposition de leurs travailleurs pour faciliter les recherches et non pour qu’ils se divertissent», développe le spécialiste. Malgré tout, il constate que la législation du travail est muette sur la question. «Il n’y a pas d’interdiction formelle. La loi n’a rien prévu parce que l’internet en entreprise est un fait nouveau. Cependant, on peut y tendre car le droit du travail est mouvant.» En attendant, on assiste à un jeu de cache-cache dans les bureaux. Les patrons font la police comme ils peuvent. Et les travailleurs, eux, tchatchent sur le net… en catimini. Gare à celui qui se laissera prendre!

Ecrit par Nesmon De Laure
Lu sur Facebook

mardi 28 août 2012

#Magnifique Osez imaginer où cela se passe !

Focus sur l’impressionnant spectacle « Water Illumination », avec cette compilation de photographies prises à Tokyo durant le Odaiba Water Illumination Show. Projetant avec un impressionnant écran de 60 mètres sur 23 des images de baleines ou requins, le rendu très réussi est à découvrir dans la suite de l’article.